Editions j’ai lu. 416 pages.

Date de sortie : 19 juin 2019

Résumé :

Alors que le monde des mortels sombre lentement dans l’anarchie, Alexandria se remet peu à peu de l’enfer qu’on lui a fait vivre et qui a ébranlé toutes ses certitudes. Déjà compromise, la possibilité d’une vie heureuse avec Aiden s’éloigne davantage lorsqu’un allié inattendu se présente. Or, pour vaincre ses adversaires, Alex doit mettre toutes les chances de son côté, quitte à orchestrer la destruction de tout et tous ceux qu’elle aime… ou se sacrifier.

L’avis de Emy :

Retrouvez mes chroniques sur les tomes précédents : tome 2, tome 3, tome 3,5, tome 4.

Cette lecture me prouve une fois de plus pourquoi j’aime autant Jennifer L. Armentrout. Un dernier tome qui nous offre une fin étonnante et surprenante. Et très certainement le meilleur tome jusque maintenant.

Notre héroïne Alex nous montre qu’elle est forte et courageuse. Elle n’a pas froid aux yeux et est intrépide. L’histoire d’amour qu’il y a entre elle et Aiden est belle à voir. L’ensemble des personnages sont tous uniques à leur manière et ils m’ont tous touchés, des personnages géniaux.

On se retrouve à sourire durant notre lecture, mais on est aussi émue de nombreuses fois et pas que, car j’ai aussi été en colère, stressée et frustrée. Depuis le premier livre, j’ai l’impression qu’à chaque lecture nous montons en intensité. Tout comme chaque tome est un peu plus addictif à chaque fois. C’est vraiment agréable d’ailleurs.

On valse entre rebondissements, univers magique, des personnages parfaitement imparfaits, secrets, révélations et romance.

En bref, nous avons un très bon dénouement. Une lecture intense en émotions et palpitante. Un univers que j’ai plus qu’adoré entre mythologie, action, aventure et romance. Jennifer L. Armentrout nous fait vivre et vibrer au travers d’une merveilleuse aventure. Les personnages vont me manquer. Merci à l’auteure pour cette très belle histoire. Si vous n’avez pas encore plongé dans cette incroyable aventure, foncez !

Citation : « Survolant la foule des yeux, je croisai le regard d’un cadet sang-pur. Rien ne différenciait physiquement les purs des sang-mêlé, mais chacun d’entre nous avait l’habilité, un ton tordu des dieux, de sentir ce que nous étions. Il nous dévisageait comme s’il avait envie de nous séparer et de nous expliquer pendant des heures pourquoi nous ne devions pas nous tenir la main. »