Chronique n°191 : Wild Men, Jay Crownover.

Wild Men, Jay Crownover.

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Hugo Roman, New Romance, 360 pages.

Résumé :

Léo se remet difficilement d’un échec sentimental qui la conduit à se replier sur elle-même et s’éloigner des autres. Inquiète, sa meilleure amie Emerys arrive à la convaincre de partir avec elle en randonnée équestre dans le Wyoming, loin de tout. C’est là-bas qu’elles font la connaissance des frères Warner. Léo est tout de suite troublé par Cyrus, ombrageux et mystérieux, qui semble aussi peu sociable qu’elle. D’abord réticente à ce voyage, Léo se laisse gagner par l’aventure et le charme de ce  » presque cow-boy « . 

Mais cette excursion d’une semaine prend rapidement un tour inattendu. Les huit randonneurs ne sont pas aussi isolés qu’ils le pensaient, les membres du groupe ne sont tous ceux qu’ils prétendaient être et la randonnée devient alors menaçante… 

À travers cette aventure au grand air, Léo apprendra à croire à nouveau en elle-même et à faire face à ses peurs. Dont certaines seront plus réelles que d’autres. Et ce voyage pourrait bien tout changer dans sa vie.

Ce que pense Ludivine :

J’ai voulu lire ce livre car c’est tout simplement Jay Crownover. Je savais que j’allais l’aimé même en sachant qu’il allait être différent des autres, c’est à dire pas d’hommes tatoués de la tête aux pieds, pas de bad boys qui volent des voitures, etc, mais des cowboys qui font des excursions à cheval.

Leo est en mode automatique, en auto-destruction, si bien que sa meilleure amie, Emerys, décide de partir une semaine en excursion gérée par un ranch du Wyoming. Si Emerys décide ça, c’est pour aider sa meilleure amie, pour la remettre sur le bon chemin, et pour lui faire oublier son passé. Néanmoins aucune des deux ne savaient réellement ce qui allait se passer. Elles vont rencontré les frères Warners, dont la franchise de Leo va tout de suite lui mettre à dos le gérant et le plus vieux des frères, Cyrus. Ce dernier ne va cesser de lui lancer des pics, mais il ne peut pas rester éloigné de la jeune femme.

Leo est une jeune femme brisée, qui n’a plus confiance ni en elle, ni au monde extérieur. La seule personne en qui elle peut avoir confiance, c’est sa meilleure amie. Alors pour faire plaisir à cette dernière, Leo va prendre sur elle et va faire des efforts pour essayer de passer de bonnes vacances, et de ne pas rester renfermée sur elle et amère envers les autres. 

Cyrus, appelé Cy, est un homme qui après avoir souffert dans le passé, s’est construit un masque d’homme froid, qui ne veut pas se lier d’amitié avec les autres, et qui évite tout contact. Mais quand il verra l’âme blessée de Leo, il ne pourra s’empêcher de lui venir en aide, de la soutenir pour l’aider à s’ouvrir. 

Leo et Cy sont des personnages intenses, au caractères très forts, si bien que leur relation a commencé très fort, par de nombreuses embuches. Mais elle s’intensifiera de plus en plus au fur et à mesure qu’ils passent du temps ensemble, et qu’ils apprennent à se connaitre, en dépit de nombreuses péripéties qu’ils ne sont pas près d’oublier. En effet, leur romance est présente, mais elle est relayée en second plan par une énigme à résoudre, qui pèse sur le groupe et sur la vie du ranch.

Comme je l’ai dit au début, cette nouvelle histoire est différente de celles qu’on a l’habitude de lire de l’auteure. Mais pourtant, elle a quand même des similitudes car on rencontre plusieurs personnages : les frères Warners, les meilleures amies que sont Leo et Emerys, ainsi que d’autres personnages qui joueront des rôles plus ou moins importants. Ce premier tome, comme chaque premier tome de l’auteure, plante le décors et le caractères des personnages toujours aussi bien définis. Et pour finir il annonce une suite qui promet d’être intense. 

Comme d’habitude, les livres de Jay Crownover sont des coups de coeurs pour moi. J’ai aimé lire ce premier tome qui représente la quête de soi, dans un milieu inconnu, avec de nouvelles têtes. Mais plus important, c’est une quête de soi à travers l’amour pour des personnages blessés, qui ne cherchent qu’à être suffisamment aimés pour avoir une confiance aveugle, pour pouvoir se projeter dans le futur et oublier les démons du passé. 

« —  Comment on sait qu’on a fait ses preuves ?
(…)
—  On le sait, c’est tout. Tout à coup, quelque chose ou quelqu’un est en face de toi, et tu sais que tu l’as mérité. »

Ma note : 

5/5

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