Chronique n°158: Beat, Vi Keeland.

Résumé,

Il a le corps d’un homme et sourire d’un adolescent. Il chante comme un ange et fait l’amour comme un diable. Dylan est le chanteur star d’un groupe de rock, le fantasme de toutes les jeunes filles. Pour Lucky, rouquine de 25 ans, le fantasme est devenu réalité : depuis plusieurs mois, elle sort avec Dylan. Elle en avait rêvé et elle est très heureuse avec lui. Jusqu’au jour où dans un café, elle rencontre un autre homme, Flynn, un rockeur pur jus, beau à se damner.

L’attraction est irrésistible et réciproque. Mais la jeune femme freine des quatre fers, refusant de trahir son petit ami. Pourtant, lorsque Flynn est engagé pour la première partie des concerts de Dylan, elle a bien du mal à l’éviter pendant la tournée…

Aimer deux hommes, c’est possible. Jusqu’à un certain point…

Ce qu’en pense Julie,

Comme tout les livres de Vi Keeland, détente et évasion sont au rendez-vous ! Après « pulsation » j’ai été ravie de découvrir « Beat ».

Lucky est une jeune femme qui pourrait paraître comblée en apparence. Elle sort avec la star qu’elle idolâtrait quand elle était plus jeune: Dylan. À côté de ça, elle tient avec sa meilleure amie de toujours, le bar qu’elle a hérité de son père. Cependant, quand elle va rencontrer Flynn, elle va se rendre qu’on compte qu’elle n’a jamais vécu comme elle le fait avec lui. Ses sentiments et sa vie vont alors changer pour laisser place à quelque chose de finalement pas si différent mais d’encore mieux qu’avant.

Flynn est une star de rock qui commence à se faire de plus en plus connaître. Sa notoriété augmente et les femmes à ces pieds aussi. Mais pour lui, la seule femme qu’il voit c’est la copine d’un autre: Lucky. Doit-il sauver sa carrière ou accepter son amour ?

J’ai donc beaucoup aimé ce livre qui m’a fait passer un agréable moment. J’avais déjà bien aimé « pulsation » mais ce second livre m’a complètement fait succomber. Certes l’histoire n’est pas dès plus originale, mais elle est facile à lire, fluide et finalement très sympa. Comment ne pas s’attacher à des personnages, comme Lucky et Flynn alors qu’ils sont adorables et si touchants. Leur amour est un vrai amour, réel et fort, qui nous rappelle qu’à un moment on a tous le droit au bonheur.

J’ai quasiment tout les livres de Vi Keeland et sa réputation n’est plus à faire. Son écriture est toujours aussi addictive et vivante, de quoi passer un agréable moment.

4,5 /5

Citation: « Son beau visage affiche une mine incertaine, tiraillée entre le soulagement de me voir et le malaise. C’est le reflet exact de mon état d’esprit à moi. »

Où le trouver ?
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3 réflexions sur “Chronique n°158: Beat, Vi Keeland.

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